Publié par : La blonde du sport | mars 23, 2010

Dois-je le faire le soir ou le matin?

Ce soir encore , me voici devant le même dilemne: dois-je le faire le soir ou le matin?

Si je le fais le soir, je me couche trop tard et je suis fatiguée le lendemain. Mais, si je le fais le matin, cela prend trop de temps et me met en retard sur la routine avec É. et F. Je les lève trop tard et je me sens coupable parce que je leur pousse dans le dos  pour qu’on respecte l’horaire.

Dieu merci, ce soir ça s’est réglé. Le temps que j’écrivais cette entrée, Bob l’a fait sans moi…

Il a vidé le lave-vaisselle et mis la table! Peut-être devrais-je apprendre à procrastiner un peu…

Et vous, le faites-vous le soir ou le matin?


Réponses

  1. Moi je suis du style à tout faire le soir : ranger la cuisine, faire les lessives, plier le linge, mettre l’eau et le café dans la cafetière, car je veux me réserver du temps pour faire quelques exercices le matin…que je ne fais presque jamais, d’ailleurs!
    Le matin, je n’aime pas la vue d’un évier débordant de vaisselle sale…

  2. Ah là là… quel bonheur… je cherche dans google si chercheur se met au féminin, chercheuse… et je tombe sur votre site… je dévore les articles… C’est délicieusement bien écrit et surtout, je me projète… incroyable, à la vitesse de la lumière, ça fonctionne. Pour cette question, je cours après le temps depuis des décennies et il me rattrape toujours. Je voulais toujours prendre du temps sur le temps, faire tout à l’avance. Du coup, je n’avais jamais de temps pour moi puisque j’étais toujours occupée à me préoccuper de m’avancer sur tout le reste… C’est sans fin. Alors j’ai décidé ceci : faire ce qui doit être fait quand ça doit être fait. Et du coup, j’ai du temps, beaucoup plus… Mais quand j’en ai trop, je m’ennuie… Ah là là… vous mettre dans mes favoris, ne pas vous perdre… ce serait désolant pour moi. Je n’ai pas la réponse à ma question. Chercheur s’écrit-il au féminin où seul les hommes cherchent-ils ? En même temps, chercheuse, on ne peut pas dire que ce soit particulièrement esthétique à l’oreille non plus… parce que l’oreille fait des caprices parfois aussi. Bon… j’avais un peu d’avance sur mon travail, je suis en retard… La limite est fragile… merci à vous pour vos « enchanteries » et poursuivez encore…

    • Chère Bendia,

      j’ai une réponse pour vous, mais elle n’est pas officielle, c’est seulement la mienne. Je ne sais pas si « chercheur » se féminise mais, en général, je m’oppose à la féminisation des titres car, je ne sais pas pourquoi, cela les dévalue.
      Mon exemple favori: un cuisinier … une cuisinière.
      Pour ma part, dans la vraie vie, je suis « chroniqueur » et non pas « chroniqueure » ou « chroniqueuse ».

      • Pour ma part, (c’est Martine qui s’exprime ici), je suis POUR la féminisation des titres, de tous les titres. Ce n’est qu’une question de temps avant que chroniqueure ou chroniqueuse soit aussi pris au sérieux que sa version masculine…

      • Merci pour vos deux réponses… En fait, une partie de mon métier est d’accompagner les personnes dans leur projet professionnel et nous jonglons constamment avec les noms des professions… Nous avons assité progressivement à une féminisation des métiers qui peut s’entendre dans le sens où il me paraît important que les femmes soient reconnues à part entière sur des professions longtemps masculines… Cependant… il est vrai que la consonnance n’est pas toujours très agréable. Pour exemple : un sapeur pompier qui glisse vers l’appellation de sapeuse pompière… je ne sais pas vous, mais juste pour le son, ça me fait un peu froncer les sourcils, parce que ce n’est pas très « joli » à entendre. Du reste, on ne dit pas « un sage homme » mais un homme « sage femme »… pourquoi pas une femme sapeur pompier ? ou une femme chroniqueur ? Merci pour ce partage qui me touche et m’honore…


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