Buzz autour de Buzz

Après les BBQ modifiés, les roulottes et le Mondial de soccer, nous voici expertes de Buzz Lightyear.

En effet, vous avez été nombreux à venir consulter notre site à la recherche d’informations sur ce valeureux -et oh! combien attachant!- héros des temps modernes.

À quoi reconnaît-on le héros en lui? On salue d’abord sa bonhomie sans prétention. Il prend son travail au sérieux -jouet galactique- sans jamais tomber dans l’arrogance.

Il est fiable. On peut toujours compter sur lui.

Il est ambitieux comme en fait foi sa devise: «Vers l’infini, et plus loin encore.»

-Martine, mes biscuits sont à la lime et coconut… Plutôt audacieux comme combinaison. Buzz les aimerait sûrement. By the way: crois-tu qu’il ferait un bon joueur de soccer? Et si oui, dans quelle équipe le verrait-on?

Martine- Diane, j’adore ton plat Tupperware rouge et mauve… Ça me rappelle ta valise verte en plastique d’il y a quelques années…

Revenons au soccer. Buzz ne peut pas être dans l’équipe italienne car trop authentique, il ne fake jamais. Quand il a mal, c’est pour vrai. Nenni pour la Corée du Nord: Buzz est un esprit libre. Il ne fitterait pas chez les Néerlandais non plus, puisqu’il ne s’appelle pas Van Buzz, mais seulement Buzz… Il ne peut pas être dans l’équipe ghanéenne en raison de l’extrême blancheur de son visage… Il est trop beau pour faire partie de l’équipe argentine… Et si Maradona tente de le frencher et de lui faire un de ses calins, il va abîmer ses ailes intergalactiques… Buzz est très costaud, plutôt du gabarit des géants serbes et slovques/slovènes/on sait pu… Par ailleurs, Buzz ne consommant pas d’alcool, il ne peut faire partie de l’équipe anglaise.

Et comme c’est un Gagnant, Buzz doit faire partie de l’équipe gagnante, donc l’Espagne…

Buzz Lightyear est Espagnol.

-Petit problème: Buzz n’est pas un gars de party, c’est Woody le cowboy qui fait ce rôle dans Histoire de jouets…

Bon, terminons sur un terrible fashion faux pas remarqué par tous lors de la -soporifique- finale de dimanche: le gardien espagnol portait de longs bas blancs comme «les p’tits vieux» a dit E., dans sa naïveté enfantine.

Nous secondons.